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Un peu d'histoire et le Père Lacordaire
Les bustes, les armoiries et blasons
Morts au Champ d'honneur, Prix de l'AS
Légendes, souvenirs, anecdotes ...
Qui, dans quelle classe, telle année ...
Le journal mensuel 2022
Infos permanentesAu mois d'août 2020, nous avons mis en ligne les Soréziens du siècle 1800-1900, c'est ici, xixsiecle.htm.En 2018, nous avons décidé que compte tenu de la pagination augmentée de 100 pages de l'édition actuellement dans les cartons, la prochaine ne serait pas sur papier (ce qui coûterait cher), mais entièrement numérique. En conséquence, nous avons mis en ligne Le Sorézien du siècle, 1901-1991. Il est organisé un peu différemment mais vous allez vous y retrouver très facilement, la trame restant la même. C'est sur xxsiecle.htm. Et concurremment, nous venons de mettre en ligne les archives de l'Association, ben oui, toujours actifs (3214 documents scannés et 950 éléments d'archives). C'est ICI. Et aussi les archives personnelles de Serge Decourt. En 2001, l'Association Sorézienne a mis en route l'opération Sorézien du 20ème siècle afin de nous permettre d'établir l'ouvrage le plus complet possible. Ce document, que nous avons voulu prestigieux, est la suite de l'ouvrage de nos Anciens "Le Sorézien du Siècle 1800 à 1900", et ce dans sa première édition de Pentecôte 2005, incomplète certes, mais appelée à évoluer et être enrichie au fil du temps. La dernière édition papier comprend 730 pages, disponible également auprès de notre président, Patrick CHABIN, au 0672956007, mais dépêchez-vous car il en reste très peu... Présentation de l'édition qui se voulait définitive et de la version numérique qui continue à évoluer.
Décembre31 décembreJean-Christophe Bossuge (70-74), ancien président de l'Association Sorézienne, nous apprend le décès de Bernard Serres, directeur de l'École de 1977 à 1978, et professeur de physique-chimie de 1977 à 1986, ainsi que moniteur d'informatique à partir de 1983. Vous pouvez retrouver différents courriers que l'Association a eu avec lui en 1978 dans les archives.
23 décembre
14 décembre
6 décembre
Je sais que la conjoncture à l’heure actuelle est très difficile, car nous avons été privés pendant deux ans par le Covid du temps à consacrer à notre Association.
Nous avons un site dirigé par un Ancien qui est Serge Decourt, qui est à votre écoute pour recueillir vos nouvelles ou vos rencontres que vous feriez. On doit faire des comptes-rendus de ce que l’on fait (Pentecôte, St Cécile et les Repas dans les Régions) par le moyen de ce site, pour tous, cotisants et non cotisants.
Nous avons un Bureau qui est composé d’un Président, de deux vice Présidents, d’un Secrétaire, d’un Secrétaire adjoint et d’un Trésorier qui doivent faire une Assemblée (ordinaire ou extraordinaire) une fois par an.
Mes demandes sont pour le Président de notre Association :
En conclusion, j’espère qu’à l’Assemblée Ordinaire de Pentecôte 2023 le nouveau Président fera en sorte avec les membres de son bureau de relancer notre Association par le biais de notre site.
Je suis un administrateur qui a été élu par vous tous en 2018 lors d’un dîner de Pentecôte. Merci à vous tous de m’avoir lu pour mes griefs et que je ne vous ai pas embêté par cette longue missive. Je vous souhaite une bonne Année à vous tous, les SOREZIENNES,les SOREZIENS et les AMIS de notre Association et nous nous retrouverons en 2023.
Frédéric de Helly (52-56) frederic.de-helly@orange.fr
3 décembre Si la République m’a officiellement radié des contrôles le 1° décembre dernier, c’est pourtant bien aujourd’hui que se termine pour moi effectivement ma carrière militaire, au 8, comme elle avait commencé en 1974 comme sous-lieutenant, grade avec lequel nous débutions à l’époque dans les unités. Vous remarquerez au passage que j’inaugure brillamment ma nouvelle vie d’ancien combattant, puisque l’utilisation de l’expression « à l’époque » est un signe qui ne trompe pas. A l’époque, disais-je donc, un chef de bataillon Cann – ou bien était-il déjà lieutenant-colonel ? – présidait l’accueil des jeunes officiers affectés à Castres. Ces jeunes gens arrivaient dans un régiment qui sentait le souffre (pensez donc ma bonne dame, des engagés !), un régiment dont les écoles parlaient si peu qu’en faire le choix délibéré était suspect, bref un régiment qui pour tout dire ressemblait plus à un regroupement de voleurs de poules qu’à d’honnêtes soldats, fussent-ils parachutistes. Ce soir, trente deux ans plus tard, la boucle se ferme, au 8 à nouveau, avec maintenant un général de corps d’armée Cann, qui veille cette fois à ce que je parte bien. Après en avoir été le 24° chef de corps, vous pouvez imaginer l’émotion qui m’étreint de quitter le service actif au milieu des «Volontaires». Oui mon général, vous aviez raison, on n’en guérit jamais. Ni d’y avoir été chef de section, ni d’en avoir commandé une compagnie, ni surtout d’avoir eu cet inestimable privilège de les avoir commandés tous. Cette vie au 8 m’aura comblé, me remplit de nostalgie, mais au fond, se suffit à elle-même. Le reste flatte l’ego, aiguise éventuellement les ambitions, attise parfois les regrets, mais finalement importe peu. Que représente en effet une vraie vie militaire si ce n’est renifler avec ceux que l’on commande l’odeur du kérosène, passer les mêmes portières, ou courir les mêmes sentiers ? Après tout, le but ultime de ces jeux de piste comme de ces exercices intellectuels divers n’est-il pas de se trouver un jour en opération avec ses hommes, ou plus prosaïquement au quotidien, de fédérer leurs énergies autour d’une mission commune ? Si, évidemment et ce n’est certainement pas ici que je serai contredit. Mon général et vous mon cher Vincent, permettez-moi de vous dire combien ce dernier salut au drapeau des «Volontaires» m’a touché, mais aussi combien votre présence vient à point nommé tempérer l’émotion de mettre définitivement l’arme au râtelier et le parachute en position magasin. Ce soir sont réunis autour de moi ceux d’entre-vous qui m’auront le plus marqué. Ils auront su chacun, à des titres divers et à sa mesure, imprimer dans mon esprit ce qu’il fallait pour que le commandement des hommes et leur adhésion s’imposent à mes yeux comme l’impérieuse et permanente priorité de toute une vie de soldat. Mais l’extraordinaire communauté humaine que forme le 8 ne se serait cependant jamais aussi bien ni totalement épanouie sans l’accueil que Castres lui a ménagé et sans les liens que, patiemment, la ville a su progressivement tisser avec « son » régiment. Est-ce un hasard si le 8demeure le premier corps de l’armée de terre à avoir arboré les armes de la ville sur les manches de ses tenues ? Non bien sûr. Quelques amis civils de toujours sont précisément là pour souligner cette osmose, partager ces souvenirs communs et représenter les hôtes de la région. Je les remercie du fond du coeur de leur fidélité sans faille, qui a contribué à enraciner définitivement le noyau de nos amis entre Agout, Thoré et Sidobre. Trente deux ans plus loin, j’ai enfin l’occasion de mettre à l’honneur celle sans qui rien n’aurait été possible. Complice des jours heureux, mais surtout compagne des moments plus difficiles, Florence, « ma Flo », m’a épaulé sans relâche, prenant sa part de la vie du 8, il y a trente ans avec les conjoints de la 3° section, avec ceux de la 2 il y a vingt ans, avec ceux des « Volontaires » il y a un peu plus de dix. Comment oublier que tu reconnaissais instantanément plus de 450 d’entre-elles, amies, compagnes et épouses, par leur prénom ? Laisse-moi ce soir, ma Flo, te dire l’immense reconnaissance que je te dois, devant le 8, nos amis et nos enfants, tous présents aujourd’hui avec armes (épouse ou maris), et même parfois bagages, puisque certains de nos petits enfants sont là. Oui, cette vocation, tu l’as partagée jusqu’au bout, jusqu’à Paris même à la présidence de l’ARIA et je ne saurai jamais assez te remercier d’avoir ainsi contribué à ma « vie de troupe ». Et puis, comme souvent, il y a des absents. L’un d’entre eux me manque plus particulièrement ce soir. Je garde en effet gravé au fer dans ma mémoire, comme si c’était hier, la réponse laconique d’un homme qui savait de quoi il parlait lorsque, au moment du choix des régiments en 1974, j’avais envisagé de servir au 3° RPIMa. Définitif comme seul il savait l’être dans ses oracles, il m’avait alors abruptement dit : « s’il doit un jour se passer quelque chose en opération, ce sera avec un régiment de métier ». Oui, Poupon, oui Yeuyeu, et peu importe le surnom, oui mon général de Haynin, c’est avant tout à toi que je dois cette vie au 8, et je suis bien certain qu’avec Saint Michel, tu es parmi nous ce soir. Alors, à vous tous, qui avez par cette prise d’armes, par vos paroles, mais avant tout par votre présence, fait en sorte que puissent défiler aujourd’hui en quelques heures trente deux ans d’intenses satisfactions, je redis une nouvelle fois mon indéfectible gratitude et un profond merci. GDI (2S) Guy de Haynin
Novembre20 novembreCompte rendu vidéo de la soirée au restaurant de la montagne Noire à Dourgne, par Yves Reberga. Et la chaîne Youtube du même Yves Reberga.
12 novembre L’Association Sorézienne vous invite à participer à la Sainte Cécile à Sorèze, le dimanche 20 novembre 2022. Cette année notre rendez-vous débutera pour ceux qui le désirent, le samedi 19 novembre à 15h30 par une conférence de Jean-Paul Calvet: "le hêtre de Saint Jammes" dans le cadre du Salon du Livre qui se tiendra dans l'enceinte de notre grande Ecole le samedi 19 et le dimanche 20. Le dimanche 20 novembre, notre rassemblement débutera par la messe à 10h30 puis nous découvrirons le salon du livre et plus précisément le stand d’Anne Marie Denis qui sera entre le Salon Bleu et le réfectoire des Pères où nos auteurs anciens élèves dédicaceront leurs livres : par exemple Roland de Malherbe (54-56) son livre "Un préfet de la IIIème République en terre d'Algérie" et d'autres auteurs anciens élèves : Nicolas Gorodetzky, Jean-Paul Bossuge... A partir de 13h pour ceux d’entre vous qui le désirent nous nous retrouverons pour le déjeuner au restaurant Montagne Noire à Dourgne. En après midi vous pourrez retourner au Salon du Livre à Sorèze pour assister à une projection « Aigoual, la forêt retrouvée » ou et assister à une conférence de Georges Feterman sur les arbres, rencontrer les auteurs présents et découvrir l’exposition sur les métiers du livre qui sera dans le réfectoire des rouges. En pièce jointe vous trouverez une photo du programme complet du Salon du Livre. Cette année il vous faut faire l’effort de venir, en particulier vous les anciennes et les anciens d’Occitanie et du Languedoc. Votre présence nous encourage à continuer de nous occuper de l’Association Sorézienne. Ce courrier d’invitation à venir à Sorèze pour la Sainte Cécile vous parvient tardivement en raison de difficultés informatiques rencontrées par votre serviteur.
En pièces jointes le coupon-réponse et le programme. Amitiés. Patrick CHABIN (60-69)
1er novembre
Octobre31 octobrePaul Puig Paul était une figure de l'Ecole. Fanfare, État Major, grand amateur de rugby, camarade fidèle, et "bon élève". Je le revois lors des promenades du jeudi avec son "duffle coat" beige. N'oublions pas son fameux coup de pied envoyant le ballon ovale depuis la cour des Bleus, par dessus la chapelle, pour retomber chez les verts (ou les jaunes ?). Oh, les Anciens, Popol mérite bien que vous évoquiez vos souvenirs à son sujet. Oui, il était bien diminué mais rappelez-vous qu'il avait tenu à participer à la reprise de la pièce de Dastoche "Le rêve..." où il jouait le rôle du messager ("Le courrier du roi...Euh...le courrier de l'Empereur") Il reste pour moi un grand personnage de L'Ecole de Sorèze. Francis Grand (54-57)
18 octobre
17 octobre
14 octobre Il est décédé ce matin, et ses obsèques auront lieu le lundi 17 en la chapelle de Notre Dame de l'Agenouillade du Grau d'Agde (Hérault). Nous apprenons aussi les décès de Régis Bosredon (62-71) qui fut Maître des Cérémonies puis Sergent-major en 70-71, le 26 juin dernier à Bordeaux, ainsi que Alain Maudouit (64-69) le 8 juin dernier au Bouscat. A leurs familles et leurs amis nous présentons nos condoléances.
6 octobre
Septembre18 septembreLe 17 septembre 2022 a eu lieu une "Rencontre-dédicace " de Roland de Malherbe (54-56) à l'occasion de la parution de son livre : à la Librairie Anne-Marie Denis, rue Saint-Martin, Sorèze. roland.demalherbe@nordnet.fr
1er septembre
AoûtIl ne s'est rien passé non plus, sauf quelques contacts entre anciens.Non, ce n'est pas parce qu'il ne s'est rien passé, mais tout simplement parce que nous ne sommes pas au courant. Ceci dit, les contacts entre anciens existent toujours, et la téléphonite fonctionne encore.
JuilletIl ne s'est rien passé.
Juin27 juinIl y avait hier à Brive la Gaillarde l'inauguration de l'esplanade Bernard Murat (62-65), ancien maire et sénateur, sur la place du théâtre. Etaient présents Jean-Paul Bossuge, Jean Teste et Serge Decourt.
27 juin
4 et 5 juin
5 juin
3 juin
Mai25 maiQu'est ce que vous en pensez ? Une guinguette dans notre parc !
17 mai
Cette année, nous pouvons enfin nous retrouver à Sorèze pour la Pentecôte.
Avril29 avrilNous apprenons ce jour le décès de Claude Linossier (63-65), frère de François, Georges et Jean-Louis, et oncle d'Idesbald. Condoléances à toute la famille.
28 avril
15 avril
Mars25 marsLe frère aîné d'Hugues Auffray, Jean-Paul, est décédé le 22 mars. A 92 ans, Hugues Aufray n'a rien perdu de son énergie. Toujours aussi passionné de musique, il sillonne actuellement les routes de France dans le cadre de sa tournée. Pour la dernière fois. Mais alors qu'il a entamé dans la foulée un véritable marathon des médias, l'interprète de Céline va probablement devoir faire une pause. La raison ? Il a fait part d'une bien triste nouvelle ce mercredi 23 mars. Sur sa page Twitter officiel, le chanteur a annoncé le décès de son frère aîné à l'âge de 95 ans. "Au revoir Jean-Paul ! Mon grand-frère s'est envolé ! Merci à tous pour vos messages", a-t-il simplement écrit en légende d'un cliché de lui avec son proche regretté. Tout comme son frère, Jean-Paul jouissait d'une certaine renommée. Lui n'a pas fait carrière dans la chanson mais dans les mathématiques. Après avoir décroché son baccalauréat à seulement 16 ans, il s'est spécialisé dans la physique quantique et a d'ailleurs écrit plusieurs ouvrages de vulgarisation scientifique. Son livre Einstein et Poincaré : sur les traces de la relativité lui a d'ailleurs valu en 1999 le prix Gegner de l'Académie des sciences morales et politiques. Hugues Aufray est désormais le dernier homme de sa fratrie. En effet certains l'ignorent peut-être, mais il a eu un autre frère prénommé Francesco (Kako) et né en 1928. Ce dernier, qui avait débuté une carrière de chanteur classique, s'était suicidé à seulement 27 ans. Une tragédie qui a profondément marqué l'interprète de Santiano. A tel point que lorsqu'il a entendu le morceau L'Enfer de Stromae, il a été envahi d'une grande émotion. "Trop de talent. Il m'a foutu un cafard noir. Parce que c'est trop beau. C'est tellement de talent. Et le talent des autres est un don du ciel. C'est mon frère qui s'est suicidé, suite à un amour interdit. Ce n'est pas une chanson, c'est une déclaration. C'est un aveu... C'est quelque chose de tellement intime que moi, ça me transperce" a-t-il confié sur les ondes d'Europe 1 le 13 mars dernier, avant d'ajouter : "J'ai du mal à parler. C'est un sujet très difficile à aborder.
Le président de l'Association Sorézienne nous écrit :
Février12 févrierYves Reberga et Patrick Chabin nous informent du décès de Suzanne Bergasse le 10 février. Elle était la femme de l'ancien président de l'Association Sorézienne. Les obsèques auront lieu le mardi 15 à 9h30 en l'église de Cessenon sur Orb (Hérault).
1er février
Janvier31 janvierChères Anciennes, Chers Anciens, Chers Amis.
Tous les membres du Conseil d'Administration de notre Association se joignent à moi, pour vous adresser nos meilleurs vœux de Paix, de Joie, d'Espérance et de Santé pour l'année 2022, à vous et à tous ceux qui vous sont chers. 10 janvier
8 janvier
3 janvier
1er janvier
Pour les amateurs de mécanique, voici les stats de fréquentation du site entre le 13 novembre 2020 et le 31 décembre 2021, Retour au menu - Envoyer un article à la rédaction
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