Passons donc maintenant à la Pentecôte proprement dite, qui a débuté la veille samedi.
Pour se mettre en jambes, au siège de l'Association, sous les mêmes frondaisons que le week-end précédent, retrouvailles en comité restreint, histoire de travailler un peu (un tout petit peu). Vous avez remarqué que cette phrase est sans verbe, c'est pour se reposer de la tchatche ininterruptible de notre Zident !
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Le Café des promenades vit arriver le samedi 31 mai Gérard Juhan, François Turcas, Duong Minh Duc et Max, alias Le Rachaud. Après un petit coup pour se refraîchir, puis une petite promenade dans l'Ecole, ces joyeux drilles se retrouvèrent au siège social de l'Association, à Blan, sous les charmes agrestes du parc d'En Fabre pour une série d'autres rafraîchissements, puis à la nuit tombée autour d'un barbecue. Histoires (dont l'inénarrable camescope numérique du Gé) et rigolades nous amenèrent jusqu'à l'heure pas raisonnable de 2 plombes du matin.
Le lendemain, retrouvailles avec le gros de la troupe d'abord au susdit Café des Promenades, puis longue balade dans le parc de l'Ecole. Nous rejoignimes les tables chez Michel et Ghislaine, à la Brasserie Saint Martin. Avec les femmes, amis et enfants, nous étions 18 autour d'une table spéciale apéro. "Le Max" se vit intimer l'ordre par toute l'assemblée de prononcer un discours. Le pôvre, n'ayant pas de sujet à discourir, invoqua le vrai discours, celui de se retrouver en chair et en os après 40 ans pour certains. Nous terminâmes ledit discours par une minute de silence à la mémoire d'Henri Zwahlen (Le Zouille). Puis nous passâmes à la table d'à côté, également longue de 5 mètres, pour un repas super sympa agrémenté de parlottes sans fin, comme on peut s'en douter.
Après le dessert et le kaoua, re-balade dans l'Ecole puis re-pot au Café des Prom.... avant de se séparer à cause d'un coup de vent d'autan chaud balayant les platanes et insinuant le pollen dans les nez et les yeux. Il fallut aux survivants rallier En Fabre et ses rafraîchissements et s'humecter les gosiers pour éviter de se frotter les yeux. Encore une bonne soirée sympa qui ne s'est pas terminée tôt.
Oui, des journées comme celle-là, on en redemande, et le rendez-vous est pris pour l'an prochain au Domaine de Truilhas, à Sallèles d'Aude, chez François, Idesbald et Carole Linossier (voir la photo ci-après) : 34 hectares d'oliveraie dont 1/3 en Lucques, un autre 1/3 en picholines, de quoi accompagner quelques pastis... :
Donc, le soir chez Michel : Seignez et sa fille Isabelle, Claude Cantier, Pompon, Lebonnois et Micheline, Vasen, Crouzat et Madame, España et Mme et leurs 2 filles, Chachu et Madame, les 2 Molinier, Michaud, Patrick Chabin, Decourt et Mme. Sans oublier René Ramond qui vint promouvoir le Sorézien du XXème siècle dont il est le coordonateur général.
Dimanche : la messe en l'église du village.
Puis séance (longue) de photos dans la cour d'entrée, à ne pas confondre avec la cour d'honneur.
Nous fumes par la suite les hôtes du restaurant "Les Collets Rouges", c'est à dire l'ancien réfectoire des Bleus. Le quart de journée qui s'ensuivit vit notre nombre enfler jusqu'à 90 et fuser les discours suivants :
La toujours traditionnelle adresse de notre Zident Jean-Hugues Vasen, l'évocation par Jean-Pierre Montanié de la vie du marquis de Gléon, dont le fief fut à lui donné en 792, Jean-Pierre n'omit point d'évoquer que le Domaine produit aussi une gamme de vins fameux et titrés (voir à ce sujet leurs sites Web), le discours d'Alain Du Lac, celui également attendu de René Ramond à propos du futur ouvrage des Soréziens du XXème siècle, celui d'Anne-Marie Denis, libraire-éditrice à Sorèze, et la chansonnette poussée comme la tradition le veut par notre chantre occitan Raymond Guilleré, qui termina par la Sorézienne.
Notons cependant la présence de nombreux joyeux drilles comme Tomas España-Amoros, Bruno Charuel, Christian Leblond, Pompon, Feldmann, Michaud, les 2 Molinier, Crouzat, Frappat, Chabin, sans omettre Philippe Béteille (en pleine forme) qui mirent beaucoup d'ambiance et embouchèrent leurs clairons plus souvent que requis. Dominique Laugrand avait même fait le voyage depuis Kinshasa.
La nomination de nos deux Soréziens d'honneur, Marguerite-Andrée Barande de Gineste et Yves Blaquière fut aussi un grand moment (voir le compte-rendu général).
La fin de l'après-midi consista à s'aérer dans le Parc, dans les cours, dans les couloirs, etc.
La soirée n'en était pas terminée, et dans des lieux proches, dans le Tarn ou la Haute Garonne, on échangea encore beaucoup, y compris de la Chantilly.
Qu'ajouter, sinon que ce fut une grande Pentecôte. L'édition 2004 promet beaucoup ...