Association Sorézienne

Sainte Cécile 2002 à Sorèze

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Sainte Cécile et Sainte Catherine
se réunissent à Sorèze chez Saint Martin

Problème technique de routage ou pas, une Sainte Cécile réussie a bien eu lieu à Sorèze ce week-end.
Et nous n'étions pas moins de vingt convives à honorer la fidèle et joyeuse table Sorézienne de nos amis Michel et Ghislaine à la traditionnelle Brasserie Saint Martin.
Le déjeuner du dimanche, après une soirée "jazz-sage" (excellent exercice de prononciation après avoir dégusté le Gaillac nouveau), semblait être une réunion de club matrimonial tant les épouses étaient nombreuses...
Il fut donc rendu hommage à Sainte Cécile, patronne de la musique mais aussi de la communauté des Soréziens et Soréziennes, membres ou non de la fanfare, puisque toutes et tous jouent dans leur coeur en silence les notes philosophiques et spirituelles de la pensée Lacordairienne sur la portée du souvenir.
Souvenir de Lacordaire...
Il en fut question dans la rapide évocation du bicentenaire de sa naissance par l'abbé de la paroisse lors de la messe dominicale; mais aussi lors de la séance de dédicace du recueil de souvenirs intitulé "Le panache en plus" de notre camarade Eliby.
"A la Sainte Catherine, tout bois prend racine", paraît-il.
Ceux d'entre nous qui étaient présents n'ont pas fait mentir le dicton, et lorsque Sainte Catherine est l'invitée de Sainte Cécile, les projets fleurissent dans le jardin de nos fêtes à venir. Ainsi, un sérieux programme s'élabore pour la Pentecôte : distinction de "Sorézien d'honneur" destinée à

L'idée d'un "bal des uniformes" a également été émise pour cette occasion. A suivre.
Etaient autour de la table :
Dans la série des Pierre, Pierre Courtauly et son épouse, Pierre-Jean Seignez et son épouse, Pierre Barraillé, Pierre-Arnaud Lebonnois et Pierre-Gilles Nollet. Mais aussi Jean-Michel Languillon, Jean-Hugues Vasen, Dominique de Laurens-Castelet et son épouse, Claude Cantier, Alain Du Lac, Jean Fabre de Massaguel et son épouse, Philippe Martin-Granel et son épouse, Cathy Alis et Singapour, François-Xavier De Berranger.
Yves Blaquière, venu pour le café, nous invita très gentiment à nous joindre à la conférence organisée par ses soins sur le thème de la liberté de la presse et de l'opinion publique dans notre ancien théâtre, le soir même.
Pierre-Arnaud Lebonnois

Pierre Barraillé
JH Vasen, Mme Du Lac, Philippe Martin-Granel, Pierre Barraillé, Alain Du Lac, Pierre-Jean Seignez, Dominique de Laurens-Castelet, Jean Fabre de Massaguel
Barraillé, Du Lac, Martin-Granel et Courtauly
Béatrice de Laurens-Castelet, les amies de Pierre-Arnaud Lebonnois
Pierre-Arnaud Lebonnois et ses nantaises
Vasen avec Mme Du Lac à sa droite et Béatrice DLC à sa gauche
Claude Cantier
Pierre-Arnaud Lebonnois ...
... qui présente son livre "Ecole de Sorèze, le panache en plus"
Mme Lebonnois, Béatrice DLC, Vasen
Claude Cantier, Jean Fabre et sa femme, Dominique DLC, Barraillé et Martin-Granel, de l'état-major 1942, Mme Du Lac, etc,
Devant la cour d'honneur
idem, avec les tonsures de DLC et de Seignez
Alain et Mme Du Lac
Alain franchit l'entrée pour la Nième fois
Barraillé, Seignez, Béatrice et Dominique DLC, Languillon, Vasen, Jean Fabre
Les mêmes
id.
Lacordaire a été nettoyé
Jean Fabre et sa femme
Barraillé et Martin-Granel
Seignez, Vasen, Du Lac et Mme, Jean Fabre et Mme
Courtauly
La plaque dans l'église
Seignez, DLC et Vasen dans les couloirs
Chez Guigui : Seignez et DLC
Vasen
DLC
On croit que tu médites, camarade, alors que tu attaques le p'tit déj
Le cousin de Guigui

Quelques photos de fin novembre 2002

Etats d'âme mis à part sur la nostalgie que l'on peut avoir de l'Ecole, j'ai trouvé que ce qui avait été réalisé est tout simplement superbe.
Il nous avait été réservé la chambre 124 du Logis des Pères (côté 3* où il y a 3 catégories de chambre. Nous avions pris la moins cher, qualité "histoire" je crois).
Cette chambre 124 donne directement sur la carrière, presque en son milieu.
La restauration est faite avec goût et j'ai été frappé par le fait que tout étant refait à neuf, en se promenant dans les couloirs j'ai eu le sentiment que l'âme de l'école avait été préservée.
Les réfectoires sont toujours à la même place, sauf qu'il s'agit désormais d'un restaurant de qualité, mais le sol est en carrelage vieilli, et le plafond en poutres apparentes d'époque légèrement blanchies à la chaux. Il pourra même arriver qu'une esquille de bois ou de mastic tombe dans ton assiette...
Dans la chambre que nous avions, un détail montre l'esprit de cette restauration: le mobilier est simple, tel que devait l'être celui des pères à l'époque.
Sous la télévision (+ prise modem dans chaque chambre), un genre de toute petite commode à 3 tiroirs, toujours façon bois de pin, peint en vieux gris, dissimule en fait un réfrigérateur... etc...
La salle de bain est conforme à la catégorie de l'hôtel.
Il existe aussi des chambres plus luxueuses avec mobilier ancien pour ceux qui refuseraient d'entrer dans le jus historique des lieux.
Un plus pour la qualité de l'accueil qui est parfait. Après la première matinée passée là, certains membres du personnel nous appelaient même par notre nom... cela n'est pas très important mais dénote une certaine attention quand même.
Bref, je pense qu'il serait "intelligent" (dans le sens de compréhension des choses) que les anciens fassent leur possible pour favoriser la réussite de cet établissement, qui même s'il est forcément une affaire financière quelque part, a l'avantage d'offrir un cadre prestigieux de grande qualité pour des conseils d'administration, colloques, séminaires et autres mariages. Les salles de réception sont nombreuses et équipées, le nombre de chambres de diverses catégories permet d'offrir un accueil pour tous les budgets.
Même le manège a été transformé en salle de réunion ou de réception superbe :
les écuries ont été supprimées et sont désormais séparées du manège par 3 ou grandes arcades "gothiques" du plus bel effet.
Incontestablement je trouve qu'il s'agit d'un chef d'œuvre de restauration.
L'association devrait, à mon avis, afin de positiver ses souvenirs qui ne doivent pas rester stériles, encourager et faire publicité de ces transformations...
François PALEM


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